Les vérifications suivantes permettent d'éviter la plupart des incidents en début de mission LIDO 120 :
Si on n'est pas sûr, on vérifie que son nom existe dans le fichier de la base NIS, sur archiv : /etc/passwd.
Sinon, on édite ce fichier (il faut être root sur archiv), puis on lui met immédiatement un mot de passe (voir ci-dessous).
Rappel : le compte créé au nom du titulaire de la mission, et non au nom de la personne qui vient réellement observer. Cela permet d'utiliser un seul compte, même si plusieurs missionnaires (étudiants, par exemple) se succèdent.
S'il est venu récemment, il y a des chances qu'il se souvienne de son mot de passe. Sinon, il faut être prèt à lui en redonner un.
Si c'est un nouveau compte, il faut de toute manière le protéger immédiatement après la création du compte.
On change le mot de passe en se loguant sur archiv, sous root,
par la commande passwd :
passwd nom
De cette manière, il n'est pas nécessaire de connaître le mot de passe ancien, ni d'intervenir sur /etc/passwd, pour changer le mot de passe.
Ensuite, il faut propager ces informations :
cd /var/yp make
L'utilisateur doit avoir son répertoire racine sur /home3 de sol (seuls certains anciens utilisateurs ont leur compte sur /home2, et on va les transférer à court terme).
Attention : les comptes sur sol sont encore indépendants de la structure des machines du 193. En particulier, les répertoires racines ne sont pas ceux de stel !
Si le répertoire racine de l'utilisateur n'existe pas, on peut le créer sur sol, sous root, par la commande :
/lido/bin/creation_utilisateur nom
Cette procédure remplace aussi d'anciennes versions des fichiers par les dernières versions mises à jour.
Il faut ici examiner /images et /bis, par la procédure /lido/bin/place_disque.
Pour augmenter la place sur /images, on peut utiliser la maintenance. On peut ainsi détruire des nuits qui n'appartiennent pas à l'observateur, sauf la nuit en cours. Par précaution, il vaut mieux ne détruire que des nuits déja archivées : leur copie ne doit pas se retrouver dans /bis.
Pour augmenter la place sur /bis, c'est un peu plus compliqué : on doit "faire de la place" en travaillant sur les autres volumes, ou, sinon, demander aux archiveurs de copier les données et de les détruire sur /bis ensuite.
On lance une session LIDO, et regarde si tout se passe bien, en faisant une pose d'offset, et en la regardant avec saoimage et MIDAS.